Pyrazolam | ||
Identification | ||
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Nom UICPA | 8-bromo-1-méthyl-6-(pyridin-2-yl)-4H-[1,2,4]triazolo[4,3-a][1,4]benzodiazépine | |
Propriétés chimiques | ||
Formule | C16H12BrN5 |
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Masse molaire[1] | 354,204 ± 0,016 g/mol C 54,25 %, H 3,41 %, Br 22,56 %, N 19,77 %, |
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Propriétés physiques | ||
Solubilité | non-soluble dans l'eau | |
Données pharmacocinétiques | ||
Demi-vie d’élim. | 17 heures | |
Excrétion |
urine |
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Caractère psychotrope | ||
Catégorie | triazolobenzodiazépine | |
Mode de consommation |
voie orale, intranasale. |
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Risque de dépendance | Risques potentiels d'abus, moyen | |
Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire. | ||
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Le pyrazolam est une benzodiazépine développée par une équipe dirigée par Leo Sternbach, travaillant pour Hoffman-La Roche dans les années 1970. Elle n'a cependant jamais été utilisé dans l'industrie pharmaceutique. Elle a refait surface sur internet en tant que research chemical en 2012. Comme la plupart des benzodiazepines elle possède des effets anxiolytiques, sédatives, myorelaxantes, anticonvulsivantes et amnésiques.