Les « femmes des ruines » (en allemand : die Trümmerfrauen, de Trümmer signifiant « décombres » et Frauen « femmes ») sont les femmes qui, après la Seconde Guerre mondiale, aidèrent à débarrasser les villes des ruines des bâtiments qui avaient été bombardés. Elles travaillaient aux côtés de professionnels de l’enlèvement de gravats, de prisonniers de guerre et de travailleurs forcés anciens nationaux-socialistes[1].
Le thème de l'Allemagne en ruines et de sa reconstruction a donné naissance à un courant littéraire, la Trümmerliteratur, la « littérature des ruines ».