Jeuxvideo.com | |
Adresse | www.jeuxvideo.com |
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Description | Site web français spécialisé dans le jeu vidéo |
Commercial | Oui |
Publicité | Oui |
Type de site | Média vidéoludique |
Langue | Français |
Inscription | Gratuite et facultative |
Siège social | Paris France |
Propriétaire | Webedia |
Rédacteur en chef | Fabien Metsa (rédacteur en chef adjoint) |
Directeur de la publication | Cédric Siré |
Créé par | Sébastien Pissavy Jérôme Stolfo François Claustres |
Lancement | 1997 |
Revenus | 6 082 300 € en [1] |
État actuel | En activité |
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JV, dont le nom est Jeuxvideo.com de 1997 à 2021, également appelé JVC, est un site web français, et également disponible en application, spécialisé dans le jeu vidéo depuis . Il appartient depuis 2014 à la régie publicitaire de médias Webedia.
Il est construit comme un outil d'information à destination des joueurs par une équipe de rédacteurs et propose notamment des actualités, des dossiers, des tests de jeux vidéo ou des présentations par vidéo. Les rédacteurs se déplacent sur les grands événements mondiaux, comme l'E3, le Tokyo Game Show, la Gamescom[2], la Paris Games Week ou l'IDEF afin de rencontrer les équipes de développement et suivre les jeux tout au long de leur cycle de vie, du développement jusqu'à la commercialisation.
Il héberge également des forums à très fort trafic, souvent dépeints comme les plus actifs de France, et dont l'administration du site déclare qu'ils sont la rubrique la plus consultée du site en [3]. À ce sujet, le site fait l'objet depuis les années de diverses polémiques liées à ses forums « Blabla 15-18 ans » et « Blabla 18-25 ans » sur lesquels ont été tenus des propos extrémistes, intégristes et des appels au harcèlement. En , la rubrique forum se fait ainsi remarquer en raison d'appels au cyberharcèlement commis par certains membres et visant des féministes à la suite de l'affaire Harvey Weinstein. Le groupe propriétaire Webedia réagit dans un premier temps en durcissant la modération et en appliquant une censure par mots-clés, mesure vite abandonnée[4] car n'ayant permis de lutter que partiellement contre le problème. Finalement, le nombre de modérateurs salariés est doublé[5].