Origines stylistiques | jazz, blues, swing, boogie-woogie |
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Origines culturelles | fin des années 1930 |
Instruments typiques | Batterie, guitare électrique, saxophone, trompette, trombone, piano, contrebasse, chant |
Popularité | élevée aux États-Unis, dans les années 1940 et dans les années 1990 avec l'avènement du Swing revival (en) |
Scènes régionales | États-Unis à Kansas City, Los Angeles, New York, Chicago, et à la Nouvelle Orléans |
Voir aussi | Rock 'n' Roll, rhythm and blues |
Genres associés
Le jump blues est un genre de blues caractérisé par un tempo élevé orchestré pour des big bands. Il est caractérisé par des adaptations musicales swing, un rythme insistant, les vocaux syncopés et énergétiques, et les chansons aux paroles racées et comiques. L'instrument le plus important dans le jump blues était le saxophone ; la guitare y figurait seulement comme instrument rythmique.
Les premiers efforts dans ce genre sont parus pendant les années 1930, et le genre atteint un sommet de popularité pendant les années 1940 et 1950. Les artistes les mieux connus de ce genre était Wynonie Harris, Louis Jordan, et Big Joe Turner. Le genre, populaire dans les années 1940, est précurseur du rhythm and blues et du rock 'n' roll[1].