Nom de naissance | Margaret Wynne Jones |
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Naissance |
à Vicarage House, Lower Church Gate, Leicester[1] |
Décès |
(à 74 ans) au 4, Downside Crescent, Haverstock Hill, Londres[1] |
Nationalité | Britannique |
Diplôme | |
Profession | |
Autres activités | |
Conjoint | |
Descendants |
Mary Philippa Nevinson, Christopher Richard Nevinson |
Mouvement | Réalisme |
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Genres |
Œuvres principales
Margaret Wynne Nevinson, née Jones ( - ) est une militante féministe et pacifiste britannique d'origine galloise, également journaliste, écrivaine, travailleuse sociale, juge de paix et femme politique londonienne.
Fille d'un prêtre anglican, fervente chrétienne, elle consacre la majeure partie de sa vie à l'aide sociale dans les quartiers pauvres de l'East End, d'abord aux côtés des philanthropes Samuel et Henrietta Barnett, puis en se faisant élire tutrice de maison de travail. Son investissement féministe en faveur du droit de vote des femmes l'amène à s'impliquer dans nombre d'organisations suffragistes, principalement la Women's Freedom League dont elle est l'une des fondatrices. Le droit de vote des femmes obtenu, elle devient l'une des premières femmes juge de paix d'Angleterre.
Elle écrit pour la presse suffragiste (The Vote) ou socialiste (The Guardian). Ses nouvelles, parmi les premières œuvres réalistes du Royaume-Uni, exposent la dureté de la condition des classes laborieuses londoniennes, notamment pour les femmes mariées. Elle écrit également des textes autobiographiques, teintés d'amertume envers le déroulement de son existence et son mariage insatisfaisant avec le correspondant de guerre Henry Woodd Nevinson. Elle est la mère du peintre Christopher Nevinson.
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