L’« Histoire » est à la fois l'étude des faits et des événements du passé et aussi l’ensemble de ces faits, de ces événements. Le nom a pour origine les « enquêtes » (Ἱστορίαι / Historíai en grec ancien) d'Hérodote, mais c’est Thucydide qui lui applique le premier des méthodes critiques, notamment le croisement de sources différentes…
La guerre anglo-américaine de 1812 a opposé les États-Unis à l’Empire britannique, entre juin 1812 et février 1815. Cette guerre est aussi connue sous les noms de guerre de 1812, de seconde guerre d'indépendance, voire plus rarement de guerre américano-britannique. L'appellation de « guerre de 1812 » peut parfois conduire à une confusion dans la mesure où la guerre d’invasion de la Russie par Napoléon Bonaparte, la Campagne de Russie, a eu lieu la même année.
Alors que le Royaume-Uni devait fournir un important effort de guerre du fait de son conflit avec la France napoléonienne, les États-Unis lui déclarèrent la guerre le par ressentiment et colère envers l’attitude britannique, notamment à cause de l’enrôlement forcé de matelots américains dans la Royal Navy, des restrictions imposées aux échanges commerciaux américains par le blocus britannique des ports continentaux d’Europe, et du soutien militaire du Royaume-Uni aux Amérindiens défendant leurs terres contre les colons américains.
La guerre se déroula sur trois théâtres d'opérations : l’océan Atlantique, la région des Grands Lacs, et les États du Sud. Au début de la guerre, les États-Unis tentèrent d'envahir les colonies nord-américaines, mais furent repoussés (prise de Détroit, Bataille de Queenston Heights). La Royal Navy fit le blocus de la côte Est, ce qui affaiblit l’économie américaine en raison de la réduction drastique des exportations agricoles américaines (même si le blocus favorisa l’émergence de l’industrie locale). Leur domination des mers permit aux Britanniques de mener des raids côtiers et d’incendier Washington en août 1814. En revanche, les batailles navales sur les Grands Lacs tournèrent à l'avantage des États-Unis.
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Jean Leclant, né le 8 août 1920 et mort le 16 septembre 2011, est l'un des égyptologues français les plus connus.
Il est, à partir de 1948, membre de l'Institut français d'archéologie orientale, puis, en 1952, il est chargé de créer et de constituer le service d'archéologie de l'Éthiopie. Auteur de plusieurs fouilles en Égypte, en Éthiopie et au Soudan, il se consacre plus particulièrement au site de Saqqarah. Il enseigne à partir de 1953 à l'université de Strasbourg, à la Sorbonne, à l'École pratique des hautes études et enfin au Collège de France.
Il est l'auteur de nombreux articles et ouvrages, mais souvent destinés à des spécialistes de l'égyptologie. Membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 1974, il en reste le secrétaire perpétuel de 1983 à sa mort. Au sein de l'Institut, il était chargé depuis 1992 de la villa Kérylos.
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