Origines stylistiques | Krautrock, ambient, space rock, rock progressif, musique avant-gardiste, minimaliste, dark ambient, jazz, dub, post-punk, musique électronique, shoegazing |
---|---|
Origines culturelles | Fin des années 1980 et début des années 1990 ; Royaume-Uni, Canada et États-Unis |
Instruments typiques | Guitare, basse, batterie, violon ; occasionnellement chant, bois, glockenspiel, ou claviers |
Popularité | Faible à modérée (années 1980 à 2000), succès (fin des années 2000)[Où ?] |
Scènes régionales | Montréal, Islande, Chicago, Louisville, Glasgow, Leicester, Nouvelle-Zélande |
Voir aussi | Rock indépendant, math rock, post-hardcore[1], liste de groupes |
Genres associés
Le post-rock est un sous-genre musical du rock à tendance expérimentale et qui intègre des caractéristiques inspirées du rock alternatif, de l'art rock et de la musique électronique[2].
Le terme « post-rock » est expliqué pour la première fois par Simon Reynolds dans l'édition de du magazine The Wire pour décrire le son de certains groupes de rock qui utilisent l'instrumentation typique du rock, mais qui incorporent des rythmes, des harmonies, des mélodies, et des progressions harmoniques qui ne se trouvent pas dans la tradition du rock. La majorité de ces groupes créent de la musique purement instrumentale[3],[4],[5]. Malgré cela, beaucoup insistent sur le fait que le terme n'est pas adapté. Par exemple, le terme est utilisé pour décrire la musique de Tortoise et celle de Mogwai, deux groupes qui ont peu en commun (mis à part le fait qu'ils sont des groupes instrumentaux)[6].
<ref>
incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées The Wire May 1994