Le racisme en France prend des formes différentes et peut être appréhendé à l'échelle individuelle ou systémique[1]. Dans le passé, des périodes de racisme d'État ont existé, en particulier pendant la période coloniale. Au début du XXIe siècle, le droit ne crée plus de différence de droit si ce n'est sur la base de la nationalité.
En particulier, en France, il n'existe pas de critère officiel de classification de la population en race. Toutefois, le fichier de police STIC classe les individus recherchés sur la base suivante : blanc (caucasien) ; méditerranéen ; gitan ; moyen-oriental ; nord-africain maghrébin ; asiatique eurasien ; amérindien ; indien (Inde) ; métis-mulâtre ; noir ; polynésien ; mélanésien-canaque (sic, la graphie en vigueur étant kanak)[2],[3].