TER Picardie | ||
Régiolis B 84500, en livrée TER Picarde, à proximité de la gare d'Amiens. | ||
Situation | Hauts-de-France | |
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Type | Transport express régional | |
Entrée en service | 1986 | |
Fin de service | ||
Longueur du réseau | 1 122 km | |
Lignes | 27 | |
Gares | 161[1] | |
Rames | voir section "Matériel Roulant" | |
Fréquentation | 56 600/jour (2010) | |
Écartement des rails | 1 435 mm | |
Propriétaire | SNCF | |
Exploitant | SNCF | |
Site Internet | www.ter.sncf.com/picardie | |
Réseaux connexes | TGV Nord Europe, à Ablaincourt-Pressoir, par les lignes 32 et 33 (TGV Haute-Picardie) Amiens : Ametis Beauvais : Corolis Laon : TUL Abbeville : BAAG Saint Quentin : Pastel Creil : STAC |
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Plan du réseau, avant la fusion avec le réseau TER Nord-Pas-de-Calais. | ||
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Le TER Picardie est le réseau de lignes TER de l'ancienne région administrative Picardie.
Il a représenté, en 2010, environ 56 600 voyages quotidiens effectués sur 1 122 km de voies ferrées avec 161 gares et points d'arrêt, réalisés au moyen de 470 circulations de trains (TER, Intercités, Transilien) ou autocars sur dix-neuf liaisons ferroviaires et huit liaisons routières conventionnées par la région, ainsi qu'un service de transport à la demande, le taxi TER. Environ 62 % des trajets ont été à l'origine ou à destination de l'Île-de-France, mais seulement 5 % des trajets ont concerné des déplacements vers les autres régions voisines. La production a été assurée par près de 1 600 agents SNCF. La ponctualité est passée de 90,8 % en 2010 à 94 % à la fin du premier semestre 2011. Cinq lignes sont certifiées « NF service » sur la base de la norme EN 13816 délivré par Afnor[2],[1]. En 2008, la Région a consacré 141 000 000 € à l'exploitation du TER. Les transports et les infrastructures représentent le premier poste de dépenses du Conseil régional, qui totalise un budget de 275 000 000 € en 2009[3].
Depuis le 28 août 2017, le TER Picardie est intégré au réseau TER Hauts-de-France, avec le réseau TER Nord-Pas-de-Calais.