En droit international humanitaire, une victime civile est une personne civile (non militaire) blessée ou tuée par des non-civils, principalement des membres des forces de l'ordre (en), de l'armée, des groupes rebelles ou des terroristes. Dans le droit de la guerre, il s'agit des civils qui meurent ou qui sont blessés en raison des actes commis pendant une guerre. L'expression « victime civile » s'applique en général dans un cadre où ces actes de violence visent des objectifs politiques. Au cours des conflits armés, certaines structures, certains acteurs et certains procédés à divers niveaux jouent sur la probabilité de violences contre des civils (en)[1]. En français, un synonyme est « pertes civiles ».
L'expression « victime civile » renvoie parfois à des situations non militaires, par exemple pour distinguer les victimes dans les rangs de policiers et celles chez les criminels, comme des auteurs de hold-up dans une banque (en).