Violence contre les femmes

Carte des taux nationaux de victimes de meurtre parmi 100 000 femmes, en 2019 :
• en vert : moins de 1,3 victime ;
• en jaune : entre 1,3 et 3 victimes ;
• en rouge : plus de 3 victimes.

Les violences contre les femmes englobent l'ensemble des comportements violents, majoritairement perpétrés par des hommes, individuels ou collectifs, dirigés contre les femmes[1]. Ces violences incluent les mariages forcés, grossesses forcées ou avortements forcés, mutilations génitales, lapidations, défigurations à l'acide et autres crimes d’honneur, esclavages, agressions sexuelles et violences conjugales, violences médicales, viols d’épuration ethnique, trafic de femmes, esclavage sexuel, privations traditionnelles ou politiquement tolérées des droits et libertés humains fondamentaux dans la condition féminine.

Outre les trafics criminels et les violences propres à certaines sociétés, l'alcoolisme, la toxicomanie sont des facteurs causaux importants des violences contre les femmes, en particulier de violences conjugales[2],[3].

Ce sont surtout les associations caritatives et associations humanitaires qui se mobilisent aujourd’hui en faveur de la reconnaissance et de la protection des victimes de persécutions spécifiques aux femmes[4].

  1. « Perspective de genre dans la lutte contre les violences »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Le Monde Selon Les Femmes cief genre, .
  2. « Violences contre les femmes : ne négligeons pas le rôle de l'alcool et des drogues ! », sur lequotidiendumedecin.fr, (consulté le ).
  3. « L'alcool, "grand absent" du Grenelle des violences conjugales », sur europe1.fr, (consulté le ).
  4. Jane Freedman, Jérôme Valluy (dir.), Persécutions des femmes - Savoirs, mobilisations et protections, Editions Du Croquant, novembre 2007 résumé en ligne.

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