Naissance | |
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Décès | |
Sépulture |
Cimetière de Portbou (d) |
Nationalité |
allemande |
Formation | |
École/tradition | |
Principaux intérêts | |
Idées remarquables |
« aura », « concept d'histoire », « fantasmagorie », « déclin de l'expérience », « image dialectique », « dialectique à l'arrêt » |
Œuvres principales |
Thèses sur le concept d'histoire L'Œuvre d'art à l'époque de sa reproductibilité technique L'Origine du drame baroque allemand Paris, capitale du XIXe siècle « Le Concept de critique esthétique dans le romantisme allemand » « Le Raconteur » |
Influencé par | |
A influencé | |
Adjectifs dérivés |
benjaminien (-nienne) |
Père |
Emil Benjamin (d) |
Fratrie | |
Conjoint |
Dora Sophie Kellner (d) |
Enfant |
Stefan Benjamin (d) |
Parentèle |
William Stern (oncle) Gertrud Kolmar (cousine germaine) Günther Anders (cousin germain) Leon Kellner (en) (beau-père) Hannah Arendt (cousine) |
Walter Benjamin (en allemand : [ˌvaltɐ ˈbɛnjamiːn][1] ? Écouter [Fiche]) (nom complet : Walter Bendix Schönflies Benjamin) est un philosophe, historien de l'art, critique littéraire, critique d'art et traducteur allemand né le à Berlin (Allemagne) et mort le à Portbou en Catalogne, dans l'Espagne franquiste.
Il est rattaché à l'école de Francfort. Il a notamment traduit Balzac, Baudelaire et Proust, et est l'auteur d'une œuvre hétéroclite aux confluents de la littérature, de la philosophie et des sciences sociales. Son suicide a laissé son œuvre dans l'inachèvement avec seulement deux livres publiés de son vivant, des articles et de nombreuses notes en vue de la publication d'une vaste enquête sur le Paris du XIXe siècle.
Sa pensée a été redécouverte, étudiée et commentée à partir des années 1950, avec la publication de nombreux textes inédits et de sa correspondance. Longtemps ignoré en dehors de cercles littéraires, il a peu à peu acquis une notoriété le plaçant parmi les théoriciens majeurs du XXe siècle.